Après une après-midi d'émeutes à Alger, le général Massu prend la tête d'un comité civil et militaire et exige la création à Paris d'un gouvernement de salut public.
Après le coup de force insurrectionnel du général Massu à Alger, Pierre Pflimlin investi par 274 voix contre 129.
M. Coty ordonne à l'armée d'Algérie "de rester dans le devoir sous l'autorité du gouvernement de la République".
Confusion en Algérie, les généraux Salan et Massu semblent dépassés par l'action des "comités de Salut Public".